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Image by Aaron Burden

Calcul rein

Le samedi 3 juillet 2010, vers 3h00 du matin, je me suis réveillé avec des douleurs terribles et inquiétantes dans le dos. En allant aux toilettes, je me suis aperçu que j'avais du sang dans mes urines et pour la première fois de ma vie, je me suis inquiété de ma santé au point de ne plus pouvoir me rendormir.

Bien que fatigué par cette nuit presque blanche, je me suis quand même levé pour aller travailler, vers 7h00 du matin. Mais ce matin là, la douleur augmenta avec le temps et devint tellement forte, aigüe et insupportable que je décidai d'aller me faire ausculter à l'hôpital de Monthey en début d'après-midi.

En arrivant aux urgences vers 14h00, je fus immédiatement mis sous perfusion afin de supprimer ma douleur. Puis, j'ai passé un scanner qui a révélé que je souffrais d'un calcul dans le rein gauche. Je fus averti que j'allais être hospitalisé afin de traiter mon cas.

La nuit de samedi à dimanche, je n'ai pas pu dormir un seul instant à cause de mon inquiétude. Dans l'après-midi, je fus averti que j'allais devoir subir une opération le lundi matin. A ce moment précis, je me suis senti perdu et l'angoisse m'a montré son visage : j'ai pensé à mon travail, et pour moi, la situation est soudainement devenue tragique.

Lundi matin, à 7h00, je suis passé sur la table d'opération et le docteur m'a installé une sonde entre la vessie et le rein gauche, sous anesthésie car il lui avait été impossible de m'enlever ce calcul, sa taille étant de 12mm. Après l'opération je fus ramené dans ma chambre d'hôpital, et vers 11h00, le docteur est venu me voir : il m'assura que l'opération s'était bien passée et m'annonça que je devrais être opéré de nouveau à la fin du mois, afin de détruire ce calcul.

Inquiété par cette nouvelle, j'ai appelé Monsieur Philippe Coffin pour le prévenir que je ne pourrais plus travailler pendant un minimum de trois semaines et je lui ai raconté ce qui m'était arrivé. Il m'a demandé de ne plus m'inquiéter, de m'autoriser à le laisser travailler à distance sur mon calcul rénal et de lui faire confiance car il allait aussitôt, avec son amie Sophie, tenter de me soigner à distance, "énergétiquement".

J'ai très bien dormi la nuit de lundi à mardi. Au matin mes urines étaient claires, sans la moindre trace de sang. Curieusement, je ne ressentai plus aucune douleur. Après avoir passé la vérification post-opératoire (rayons X) qui allait permettre de s'assurer que la sonde est bien en place, je suis rentré chez moi.

Philippe Coffin et sa fiançée sont venus cet après-midi à l'hôpital pour me faire une visite surprise mais je n'y étais plus. Il m'a donc appelé par téléphone pour prendre de mes nouvelles et je lui ai annoncé que je me sentais beaucoup mieux.

A ma plus grande surprise, le lendemain matin (mercredi vers 10h00) je fus convoqué par le docteur Praz qui me demanda de revenir à l'hôpital pour une autre vérification. Un peu inquiet, je suis donc revenu le voir et il m'annonca qu'il fallait me faire une échographie de contrôle car si la sonde apparaissait bien sur la radio, le calcul dans mon rein gauche, -de 12mm- lui, avait complètement disparu !!!

Devant ce fait, le docteur était plus que perplexe, il en est même resté stupéfait, sans pouvoir me donner la moindre explication. Il m'a donc demandé de revenir le 17 août pour repasser un autre scanner afin de pouvoir me confirmer que le calcul avait bien disparu, miraculeusement.

Je remercie de tout mon coeur Sophie Cartier et Philippe Coffin pour leur aide précieuse, qui m'a permis de ne plus souffrir et de pouvoir reprendre immédiatement mon travail.

José C.
Aigle le 20 juillet 2010.

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