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Douleurs lombaires et névralgies faciales

En automne 2007, j'ai commencé à ressentir des douleurs extrêmement douloureuses dans le bas du dos, le matin au réveil. Apres un certain temps, j'ai décidé d'acheter un matelas plus dur, mais les douleurs ont persisté et sont devenues si handicapantes que je n'arrivais pas à me lever du lit, mon dos étant bloqué, paralysé par la douleur. Je me suis alors mise à marcher de travers, en canard, le dos tout raide pour ne pas trop le mouvoir, de peur de souffrir.

Le jour de Noël m'a fille qui me voyait atrocement souffrir m'a amenée chez notre médecin de famille pour qu'il me soigne et m'éviter de rester ainsi à souffrir pendant les fêtes. Ce fut le début d'une longue recherche médicale dans l'espoir de comprendre la cause de mes névralgies et de trouver un remède à mes maux.

Les calmants et la cure d'antibiotiques prescrits par notre médecin de famille ne m'apportant pas le moindre soulagement, il m'a finalement envoyée chez ma gynécologue pour me faire subir des examens approfondis, y compris un RMI de mon bassin, mais sans le moindre résultat concluant puisqu'aucune anomalie ne fut décelée.

Mon médecin décida alors de me faire faire des analyses de sang, par précaution : celles-ci révélèrent que j'avais un Morbus Bechterev et je fus aussitôt transférée à l'Inselspital, Hôpital spécialisé en Rhumatologie, à Berne, ou le médecin traitant qui m'a examinée a diagnostiqué que je souffrais d'une arthrose spondylite, maladie qui est traitée dans cet hôpital par transfusion dans les veines d'un médicament, le Rémicade.

J'ai donc passé la matinée suivante, alitée à l'hôpital dans la partie de cet établissement dédiée à ce traitement particulier, afin d'y recevoir une injection de Rémicade dans mon sang. Pendant la transfusion, j'ai été constamment surveillée par une infirmière de garde qui régulièrement prenait ma tension et vérifiait ma température.

Le médecin de l'hôpital ainsi que le personnel soignant m'ont alors avertie que ce médicament affaiblit le système immunitaire et que, en conséquence, au moindre rhume ou à la moindre fièvre, je devrais immédiatement me rendre à l'hôpital le plus proche pour y être traitée.

Je suis ainsi allée une fois par mois à Berne, dans cet Inselspital pour y recevoir mon traitement et chaque séance m'a coûté la bagatelle de SFR 5000 !

J'y ai rencontré au cours de mes traitements, des gens qui se soumettaient à ces transfusions depuis plus de vingt années, ce qui avait l'air de leur réussir, mais hélas moi, après la quatrième séance, mes douleurs sont revenues aussi violentes et douloureuses qu'avant le traitement. Le médecin spécialiste en rhumatologie m'a alors prescrit une alternative au Rémicade, le Hurima, un médicament que je pouvais m'injecter moi-même deux fois par mois et qui avait l'avantage d'être moins onéreux.

Après ma deuxième auto-injection de ce nouveau médicament, le hasard m'a fait rencontrer Mr. Philippe Coffin, à Venise, sur le vaporetto, pendant l'été 2008, en compagnie d'une amie qui me l'a présenté. Quand il m'a dit qu'il est un grand adepte de la médecine alternative, qu'il pratique en tant que bio-énergéticien, j'ai été intéressée par son discours et ses explications. Quand mes amies qui le connaissent bien m'ont fortement conseillée d'aller le voir, j'ai décidé de prendre un rendez-vous avec lui avec au fond de moi l'espoir qu'il trouverait un traitement holistique adapté pour soulager mes maux, avec sans doute des compléments homéopathiques à prendre pour le restant de mes jours, mais qui me dispenserait dorénavant de prendre des médicaments aussi agressifs que ceux qui m'avaient été prescrits et auxquels je semblais condamnée.

En entrant chez lui, je lui ai dit que je souffre d'une maladie génétique.... et sa réponse fut que du point de vue holistique, il n'existe pas de maladie génétique. Intriguée mais confiante, je l'ai laissé exercer son métier et après quatre séances des deux heures chacune, à raison d'une par jour, j'ai commencé à me sentir beaucoup mieux. L'idée de ne plus dépendre de mes médicaments pour le reste de ma vie, (médicaments toxiques puisqu'un des effets secondaire connu est d'affaiblir mon système immunitaire), m'a donné de l'espoir et a sûrement aidé au soulagement de mes souffrances.

Je peux dire qu'aujourd'hui mes douleurs dans le bas du dos ont complètement disparu, et que j'ai même repris mes cours de Pilates que j'avais arrêtés à cause de mes névralgies et aussi que je nage sur le dos une heure par jour, ce qui contribue énormément à mon bien-être.

Ceux qui doutent de la pérennité de ma guérison miraculeuse m'ont dit que ce type de douleur va et vient. Si tel est le cas, je retournerai chez Mr. Coffin pour une autre séance plutôt que de retourner à l'hôpital ou de m'injecter un autre médicament. Pour le moment je suis libre de toute douleur depuis une année et surtout sans médicament à prendre, donc libérée de toute injection de matière nocive dans mon sang et plus généralement, dans mon corps.


A la suite de cette guérison à laquelle je n'espérais pas, car les médecins m'avaient dit que je serai tenue de suivre leur médication toute ma vie, j'ai appelé Mr. Philippe Coffin pour lui parler d'une autre douleur qui me rendait la vie très difficile et qui était présente jour et nuit, une douleur faciale, obsédante et lancinante, très localisée, au niveau de mon maxillaire supérieur gauche, à l'endroit du sinus.

Cette douleur était apparue consécutivement à la pose d'un nouveau bridge par mon dentiste, en 2006. Comme la douleur ne passait pas, je suis allée consulter mon médecin qui m'a envoyée me faire faire une série de radiographies afin de vérifier si je ne souffrais pas d'une sinusite. Les résultats de ces examens étant positifs, il m'a prescrit une cure d'antibiotiques -par précaution- ainsi que des calmants extrêmement puissants, des neuroleptiques généralement prescrits aux épileptiques.

Mais cela n'a pas arrêté mes douleurs lancinantes. Je suis retournée chez mon médecin traitant qui m'envoya me faire faire d'autres radiographies afin de vérifier que l'origine de ma douleur ne venait pas d'une tumeur au cerveau. Comme les résultats de cet examen complémentaire furent eux aussi positifs, il m'a conseillé de retourner consulter mon dentiste.

Mon dentiste m'a alors fait une série de radiographies de mon maxillaire afin de vérifier que les racines des dents qu'il m'avait traitées étaient saines. Les résultats furent eux aussi positifs, mais comme la douleur ne partait pas -par précaution- il m'a fait un traitement de la racine de la dent située au niveau où la douleur se faisait sentir.

Puis, comme la douleur persistait et que les calmants ne me faisaient plus d'effet, il m'a envoyé chez un de ses collègues. Ce dernier est resté perplexe et incapable de me donner une réponse. Il a donc soumis mon cas à la clinique universitaire Smerchzlink, à Zurich, et finalement obtenu pour moi un rendez-vous, trois mois plus tard. Le grand spécialiste dentaire qui m'a reçue et examinée à cette clinique universitaire m'a prescrit une série de médicaments qui auraient dû me libérer de mes douleurs, mais cela ne fut pas le cas : les douleurs ont persisté.

Devant cet échec, ce spécialiste m'a alors demandé de prendre rendez-vous avec la psychiatre de leur clinique. Celle-ci m'a posé de nombreuses questions, demandé comment je faisais pour supporter de telles douleurs et si je pensais pouvoir vivre avec une telle souffrance au quotidien. A la fin de l'entretien, elle m'a donné des exercices de méditation et de relaxation à faire le plus régulièrement possible, afin de pouvoir supporter les douleurs.

Mais ces exercices ne m'ont pas aidée à guérir de mes douleurs. Je suis donc retournée une fois de plus dans cette clinique et l'on m'a dirigée vers un autre spécialiste qui lui, diagnostiqua que les muscles de ma mâchoire étaient anormalement contractés. Il m'a appris une méthode de relaxation spéciale pour détendre les muscles de la mâchoire… qui resta sans effet.

A la suite de ce nouvel échec, je fus re-convoquée par la psychiatre de la clinique qui lors de ce nouvel entretien me suggéra d'envisager d'avoir à vivre avec cette douleur permanente. Comme cette hypothèse ne me satisfaisait pas, je suis retournée chez mon dentiste, qui à ma demande, m'a enlevé le bridge posé pour le remplacer par un autre : les douleurs persistèrent. Ce calvaire dura bonne une année. Découragée d'avoir essayé tout ce que la médecine m'avait proposé, sans résultat, j'ai raconté ma pénible et douloureuse odyssée à Mr. Philippe Coffin.

Il a " ausculté mes énergies " et dit qu'il pensait pouvoir m'aider à me libérer de mes douleurs qu'ils subodoraient liées à une souffrance émotionnelle, qu'il pensait être le sentiment d'avoir été désarmée et incapable de me défendre dans ma vie, face à un événement imprévu. A moitié surprise par son explication et désireuse de tout tenter pour me libérer de mes douleurs, je l'ai vu à quatre reprises, en une semaine.

Mes douleurs se sont estompées, d'une séance à l'autre et ont bientôt complètement disparu. Elles ne sont jamais revenues depuis.

Quand je repense à mes dix-huit mois d'enfer, ballottée d'un spécialiste à l'autre, éparpillés d'un bout du territoire suisse à l'autre, je me demande comment cela est encore possible de nos jours. Si je n'avais pas rencontré Mr. Philippe Coffin, je me demande si j'aurais continué à vivre avec de telles douleurs car cela ne vaut pas vraiment la peine d'être vécu.

Les mots me manquent pour remercier Mr. Philippe Coffin mais je remercie le ciel tous les jours de m'avoir permis de le croiser sur mon chemin de vie.

Merci Philippe.

Marlis.

Gstaad, le 15 août 2009.
 

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